
9 avril 2003 - La chute de Bagdad
Après avoir subi plusieurs attentats terroristes, dont celui des tours jumelles du 11 septembre 2001, les États-Unis souhaitent déclarer une “guerre contre le terrorisme”. Les États-Unis accusent l’Irak de posséder des armes de destruction massive et veulent que le chef du pays, Saddam Hussein, quitte l’Irak. Saddam Hussein refuse.
Les bombardements sur la ville de Bagdad, la capitale de l’Irak, commencent le 20 mars 2003, sans l’appui des Nations unies. Le 9 avril 2003, les soldats américains réussissent à entrer dans la ville, et Saddam Hussein est rapidement renversé.
Les réactions à travers le monde sont partagées. Beaucoup de personnes applaudissent les États-Unis et croient que leur intervention militaire amènera un système politique plus stable et démocratique en Irak. D’autres personnes critiquent plutôt cette guerre et croient que la violence n’est pas l’option à choisir, d’autant plus que beaucoup de civils irakiens sont morts lors des confrontations.
À la suite de l’arrivée des soldats américains, c’est le désordre dans la ville. Durant plusieurs jours, des statues sont détruites, de nombreux objets précieux de musées non surveillés sont volés ou brisés. Saddam Hussein est arrêté en décembre 2003.