Cette mascotte a fait rugir de colère des amateurs de hockey!
Lundi, la photo d’une mascotte publiée sur les réseaux sociaux a fait scandale! En quelques heures, plus de 500 personnes en colère ont commenté l’image. Des gens haut placés ont dû s’excuser. Que s’est-il passé? Je t’explique cette histoire surprenante qui parle de hockey, des Nordiques de Québec et de la mascotte Spartacat!
C’est la mascotte de l’équipe de hockey les Sénateurs d’Ottawa qui est à la source de cette controverse. Lundi, l’équipe a publié une photo de Spartacat (la mascotte) portant un chandail spécial. À droite, on voit le logo des Sénateurs, qu’elle porte habituellement, tandis qu’à gauche, on voit celui de l’ancienne équipe de la ville de Québec, les Nordiques.
Pourquoi? Les Sénateurs venaient d'annoncer qu’ils iraient jouer deux matchs à Québec l’automne prochain. Le chandail se voulait un petit clin d'œil sympathique aux amateurs des Nordiques.
Mais les partisans des Sénateurs n’ont pas trouvé la photo de Spartacat très drôle! Beaucoup ont cru comprendre que ce chandail annonçait le déménagement de leur équipe à Québec! Ce qui a contribué à cette peur, c’est qu’il y a des rumeurs qui courent depuis les dernières années sur un possible départ de l’équipe d’Ottawa. Pour d’autres partisans, c’est le simple fait de modifier le logo qui représentait un grand manque de respect. Ça a rapidement dégénéré. En quelques heures, la publication a récolté plus de 500 commentaires, la plupart négatifs.
Il fallait corriger la situation. Le vice-président des communications de l’équipe, Ian Mendes, a offert aux partisans de lui écrire directement s’ils avaient des questions ou des commentaires. À la fin de la journée, Cyril Leeder, le président de l’équipe, s’est excusé. Il a publié un message pour confirmer que les Sénateurs n’allaient pas déménager et qu'il prenait la responsabilité de cet incident.
La photo du pauvre Spartacat a été supprimée des comptes des Sénateurs. La mascotte, elle, est demeurée muette et n’a pas voulu accorder d’entrevue 😉
Toi, que penses-tu de cette histoire?
Sources: Le Droit, Radio-Canada