
Critique: Le Robot sauvage, un film à ne pas manquer?
La compagnie de films d’animation DreamWorks vient de lancer un film qui mélange nature et technologie: Le Robot sauvage. Il s’agit d’une adaptation du livre du même nom écrit par Peter Brown, en 2016. L’histoire a captivé les jeunes lecteurs, et elle est maintenant arrivée sur grand écran! Je suis allée visionner ce film, voici ce que j’en ai pensé!
Psst! Lis l’article jusqu’à la fin pour participer à notre concours!
De quoi ça parle?
Le film suit l’aventure d’un robot, ROZZUM 7134, que tout le monde appelle «Roz». Après un naufrage, Roz se retrouve par erreur sur une île déserte. Conçue pour accomplir des tâches pour les humains, elle essaye tant bien que mal de rendre service aux animaux, mais rien n’y fait. Ceux-ci ont peur d’elle et la surnomment «le monstre».
Mais alors qu’elle tente de retourner d’où elle vient, Roz détruit accidentellement un nid d’oies. Elle ne réussit qu’à sauver un œuf, qui éclot sous ses yeux. Roz devient alors contre son gré la maman du petit, Joli-Bec. Sa mission prend un nouveau tournant: elle doit le protéger, lui apprendre à manger, nager et voler. Va-t-elle y arriver?
Un visuel… éclatant!
L’un des aspects les plus marquants du film, c’est son visuel. Le style d’animation donne l’impression d’être plongé dans un livre illustré! On dirait que tout le film a été peint à l'aquarelle!
En plus, les paysages rappellent les forêts canadiennes! Les arbres colorés, les grandes montagnes, les rivières, les animaux… Tout y est!

L’importance de la famille
Les thèmes principaux du film sont la famille et la parentalité. En effet, même si Roz est un robot, elle apprend ce que c’est que d’être une maman pour l’oison qu’elle adopte. Certaines scènes m’ont rappelé des moments de la vie, comme lorsque l’oison s’envole pour la première fois lors de la migration. C’est un peu comme lorsqu’un enfant part pour sa première journée d’école ou, plus tard, lorsqu’il quitte la maison.


Le savais-tu?
Connais-tu l’expression «le syndrome du nid vide»? Elle est utilisée pour décrire le sentiment de tristesse ou de solitude que certains parents ressentent quand leurs enfants quittent la maison pour aller vivre ailleurs.
❤️ Mon coup de cœur: la morale
Ce que j’ai le plus aimé dans Le Robot sauvage, c’est la leçon qu’on en tire: peu importe nos origines, on peut choisir qui on veut devenir. Par exemple, Roz, qui est initialement programmée pour servir les humains, découvre peu à peu des émotions comme l’amour.

💔Mon coup de coeur brisé: le renard oublié
Finalement, je dois admettre que j’ai été un peu déçue de la façon dont le personnage du renard, qui aide Roz dans sa quête, est parfois mis de côté. Même s'il joue un rôle essentiel dans l'histoire, on en apprend très peu sur lui. J’en aurais voulu plus!


Cette histoire t’intéresse? Dis-nous dans les commentaires de qui ou de quoi tu aimerais être le protecteur, tout comme Roz est la protectrice de Joli-Bec. Tu pourrais remporter le roman Robot Sauvage!
Le tirage aura lieu le 11 octobre et le gagnant sera annoncé le 15 octobre!